Les investissements dans la désalinisation vont croitre.
jeudi 2 décembre 2010
Les technologies de désalinisation sont l’une de celles à suivre au XXIe siècle, comme nous le rapportions il y a près d’un an et demi au Forum de l’eau d’Istanbul. Ce nouvel « or bleu », qui devient rare, contaminé et pourtant ô combien nécessaire, fait l’objet de la part des technologies propres de beaucoup d’attention. Treehugger estime que d’ici 2016, les investissement dans les techniques de désalinisation, qui vont permettre à certains pays de soulager leur stress hydrique, augmenteront de 191%.
Au total, donc, les investissements devraient atteindre 3,3 milliards de dollars par an en 2016 aux Etats-Unis (et 16,6 milliards pour l’ensemble de la planète). Actuellement, les Etats-Unis ont une capacité de désalinisation de près de 8 800 millions de litres d’eau par jour. Un chiffre qui devrait passer à 13 000 millions de litres en 2016. D’ici là, le coût total des installations qui permettent de traiter l’eau de mer passera de 820 millions de dollars à plus de 1,3 milliards.
La conclusion de cette équation, c’est que malgré le coût encore élevé des technologies de désalinisation, les Etats investissent, car ils n’ont pas réellement le choix (au sujet de l’eau, voir notre article récent sur la gestion des eaux municipales par la ville de Los Angeles pour comprendre l’urgence de la situation). La désalinisation consomme de l’énergie, beaucoup, et l’impact environnemental est loin d’être neutre. Mais c’est politiquement, plus que technologiquement ou environnementalement, que la décision d’investir s’envisage. Sans eau, on ne va pas loin.
TechnoPropres
Au total, donc, les investissements devraient atteindre 3,3 milliards de dollars par an en 2016 aux Etats-Unis (et 16,6 milliards pour l’ensemble de la planète). Actuellement, les Etats-Unis ont une capacité de désalinisation de près de 8 800 millions de litres d’eau par jour. Un chiffre qui devrait passer à 13 000 millions de litres en 2016. D’ici là, le coût total des installations qui permettent de traiter l’eau de mer passera de 820 millions de dollars à plus de 1,3 milliards.
La conclusion de cette équation, c’est que malgré le coût encore élevé des technologies de désalinisation, les Etats investissent, car ils n’ont pas réellement le choix (au sujet de l’eau, voir notre article récent sur la gestion des eaux municipales par la ville de Los Angeles pour comprendre l’urgence de la situation). La désalinisation consomme de l’énergie, beaucoup, et l’impact environnemental est loin d’être neutre. Mais c’est politiquement, plus que technologiquement ou environnementalement, que la décision d’investir s’envisage. Sans eau, on ne va pas loin.
TechnoPropres
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire