energies marines - le bilan 2008, pt.1 : l'énergie des vagues
lundi 9 mars 2009
Si les chiffres sont encore minimes et que l’on parle plus du solaire et de l’éolien, les énergies marines sont depuis la première ferme connectée au réseau en 2004 (en Ecosse), une énergie renouvelable en pleine expansion. Et plutôt impressionnante au vu des schémas explicatifs. L’homme arrive enfin à dompter la force des Océans, et ce par plusieurs procédés.
1. Energie des vagues
Que dire ? Plus prévisible qu’un vent ou qu’une éclaircie, moins visible qu’une éolienne, et avec une capacité au niveau mondiale estimée entre 8 000 et 80 000 TWh/an, les vagues sont une ressource de choix. Le débat sur le type d’appareil à utiliser n’est pas encore tranché, et les difficultés sont aussi nombreuses : durabilité en cas de tempêtes, problème de la régularité d’un flux électrique issu d’une source irrégulière, et connexion au réseau.
Les équipements :
- « Ocean Harvester ». Une bouée, des vagues, un mécanisme vertical transformé en mécanisme de rotation. Le + : le système de « contrepoids » qui permet d’équilibrer la charge sur le générateur, créant un niveau moyen entre grandes vagues et petites vagues. Simple de fabrication, il est également très résistant.
- Le « Pelamis Wave Energy Converter » (ci-dessus), un tube à coudes, qui, parcouru par les vagues de surfaces, génère de l’électricité. C’est le premier outil commercialisé à grande échelle et connecté au réseau, en Ecosse. Aujourd’hui, c’est au Portugal que l’on trouve la première « ferme de vagues », depuis septembre 2008, pour une puissance de 2,25 MW (1 500 foyers fournis).
- AquaBuOY, ci-dessus, sur le principe de la bouée, fait un joli carton aux Etats-Unis, où un accord de principe a donné le feu vert à un champ de 100MW en Californie du Nord. Selon l’EPRI, les vagues de la côte Ouest pourraient fournir 12% de l’électricité US… à très long terme évidemment.
- OceanLinx, ci-dessus, basé en Australie, a passé avec succès sa phase de test et devrait être en mesure de fournir une trentaine de KW après installation d’une vingtaine d’unités.
1. Energie des vagues
Que dire ? Plus prévisible qu’un vent ou qu’une éclaircie, moins visible qu’une éolienne, et avec une capacité au niveau mondiale estimée entre 8 000 et 80 000 TWh/an, les vagues sont une ressource de choix. Le débat sur le type d’appareil à utiliser n’est pas encore tranché, et les difficultés sont aussi nombreuses : durabilité en cas de tempêtes, problème de la régularité d’un flux électrique issu d’une source irrégulière, et connexion au réseau.
Les équipements :
- « Ocean Harvester ». Une bouée, des vagues, un mécanisme vertical transformé en mécanisme de rotation. Le + : le système de « contrepoids » qui permet d’équilibrer la charge sur le générateur, créant un niveau moyen entre grandes vagues et petites vagues. Simple de fabrication, il est également très résistant.
- Le « Pelamis Wave Energy Converter » (ci-dessus), un tube à coudes, qui, parcouru par les vagues de surfaces, génère de l’électricité. C’est le premier outil commercialisé à grande échelle et connecté au réseau, en Ecosse. Aujourd’hui, c’est au Portugal que l’on trouve la première « ferme de vagues », depuis septembre 2008, pour une puissance de 2,25 MW (1 500 foyers fournis).
- AquaBuOY, ci-dessus, sur le principe de la bouée, fait un joli carton aux Etats-Unis, où un accord de principe a donné le feu vert à un champ de 100MW en Californie du Nord. Selon l’EPRI, les vagues de la côte Ouest pourraient fournir 12% de l’électricité US… à très long terme évidemment.
- OceanLinx, ci-dessus, basé en Australie, a passé avec succès sa phase de test et devrait être en mesure de fournir une trentaine de KW après installation d’une vingtaine d’unités.
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