Du coton, de l’argent et de l’électricité pour purifier l’eau
vendredi 26 novembre 2010
Nous avons déjà passé en revue plusieurs manières de « nettoyer » l’eau. L’enjeu est de taille, comme nous le soulignions au Forum mondial de l’eau qui s’était tenu à Istanbul au printemps 2009. Les techniques les plus connues utilisent des composants pour « casser » les saletés de l’eau. D’autres utilisent les ultra-violets pour purifier l’eau, enfin, nous avions vu cette expérience chinoise qui consistait à nettoyer l’eau en y plongeant des morceaux de rouille. Cette fois-ci, c’est un mix de coton, d’électricité et d’argent qui promet de venir à bout des bactéries dans l’eau (Cleantechnica).
C’est un nouveau procédé low-cost et très efficace qu’a mis en place l’équipe de recherche de Stanford University. Ce nouveau filtre à eau est capable de se débarrasser de 98% des bactéries E. Coli présente dans une eau contaminée, sans recours au chlore. L’on savait déjà que l’électricité et l’argent tuaient la bactérie.
Le nouveau système utilise une maille de nanofils d’argent sur du coton, que l’on pose ensuite sur des nanotubes de carbone, qui « fournit » l’électricité du dispositif. Le coton a l’avantage d’apporter des pores plus larges que d’autres matériaux, ce qui permet à l’eau de le traverser plus rapidement, sans avoir besoin de recourir à des systèmes de pompage coûteux pour faire passer l’eau.
C’est en fait le contexte des hausses du prix des matières premières (dont le chlore) qui explique cette recherche frénétique d’alternatives pour purifier l’eau. De l’ultra-violet aux ultra-sons, en passant par des combo sel-électricité, les chercheurs sont fortement sollicités.
TechnoPropres
C’est un nouveau procédé low-cost et très efficace qu’a mis en place l’équipe de recherche de Stanford University. Ce nouveau filtre à eau est capable de se débarrasser de 98% des bactéries E. Coli présente dans une eau contaminée, sans recours au chlore. L’on savait déjà que l’électricité et l’argent tuaient la bactérie.
Le nouveau système utilise une maille de nanofils d’argent sur du coton, que l’on pose ensuite sur des nanotubes de carbone, qui « fournit » l’électricité du dispositif. Le coton a l’avantage d’apporter des pores plus larges que d’autres matériaux, ce qui permet à l’eau de le traverser plus rapidement, sans avoir besoin de recourir à des systèmes de pompage coûteux pour faire passer l’eau.
C’est en fait le contexte des hausses du prix des matières premières (dont le chlore) qui explique cette recherche frénétique d’alternatives pour purifier l’eau. De l’ultra-violet aux ultra-sons, en passant par des combo sel-électricité, les chercheurs sont fortement sollicités.
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