Les campus US se mettent au vert
lundi 10 août 2009
On le sait, la recherche et développement dans les universités américaines font, à peu de choses près, la pluie et le beau temps dans l’innovation, et les cleantechs ne dérogent pas à ce « brain power » étasunien. Les universités US, véritables temples du savoirs généralement bien financées (au moins pour les quelques universités d’élite de l’Ivy League), mais sont-elle bien vertes ? En d’autres termes, ces centres de recherches en technologies propres seraient-ils les cordonniers mal chaussés de l’écologie ?
Treehugger nous rapporte comment les facs américaines prennent conscience des enjeux du « zéro carbone »… et du travail qu’il y a à faire pour mettre au vert des bâtiments souvent magnifiques (voir cette photo du campus de Yale) mais généralement anciens, et donc mal isolés, énergivores. De plus, souligne David Shi, de l’Université Furman, une université est construite dans une perspective de très long terme, aussi est-ce logique que les bâtiments eux aussi soient envisagés dans une perspective de durabilité. Cette tendance est le fait de plusieurs pressions : d’un côté, les étudiants, sensibilisés à l’écologie, veulent que leurs campus soient des modèles en la matière. De l’autre, les financiers de l’éducation (grandes entreprises, fondation, mécènes, etc) y voient, et c’est le côté « utile » des cleantechs, un bon moyen de réduire la note de chauffage, d’électricité et d’entretien général de campus qui sont parfois de véritables villes auto-gérées.
Les projets mis en place par les Universités vont des vélos partagés sur le campus (car ils sont vastes) à l’installation de chauffes-eau solaires, en passant par la récupération de l’eau de pluie.
TechnoPropres
Treehugger nous rapporte comment les facs américaines prennent conscience des enjeux du « zéro carbone »… et du travail qu’il y a à faire pour mettre au vert des bâtiments souvent magnifiques (voir cette photo du campus de Yale) mais généralement anciens, et donc mal isolés, énergivores. De plus, souligne David Shi, de l’Université Furman, une université est construite dans une perspective de très long terme, aussi est-ce logique que les bâtiments eux aussi soient envisagés dans une perspective de durabilité. Cette tendance est le fait de plusieurs pressions : d’un côté, les étudiants, sensibilisés à l’écologie, veulent que leurs campus soient des modèles en la matière. De l’autre, les financiers de l’éducation (grandes entreprises, fondation, mécènes, etc) y voient, et c’est le côté « utile » des cleantechs, un bon moyen de réduire la note de chauffage, d’électricité et d’entretien général de campus qui sont parfois de véritables villes auto-gérées.
Les projets mis en place par les Universités vont des vélos partagés sur le campus (car ils sont vastes) à l’installation de chauffes-eau solaires, en passant par la récupération de l’eau de pluie.
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