Produire du carburant à partir d'eau
jeudi 20 août 2009
Les chercheurs du Centre de Recherche russe de la Chimie Appliquée de St.-Pétersbourg, mené par Valérie Ikonnikov, ont développé un appareil compact qui produit du carburant (sous forme d'hydrogène) et de la chaleur à partir d'eau et d'aluminium.
Ils prétendent que ce produit est unique et qu'il n'y a aucun équivalent dans le monde. L'hydrogène est produit suite à une interaction entre de la poudre d'aluminium et de l'eau. L'innovation réside dans le fait que cela permet aux consommateurs d'obtenir de l'hydrogène propre extrait de matières compactes et sûres. Les secteurs d'utilisation potentiels de ce dispositif incluent le carburant autonome et la provision de chaleur pour des consommateurs divers : des grandes entreprises industrielles ou des maisons de campagne. Les chercheurs ont commencé leur travail en 2005 et une des publications récentes de "Alternative Energetics and Ecology" a inclus leur rapport de l'amélioration du dispositif.
Les développeurs ont ajouté de nouvelles solutions constructives pour le dispositif, en tenant compte de la continuité de l'opération et le moyen de rendre les poudres d'aluminium rentables et non-explosives. De plus, l'appareil est capable de travailler sous les hautes températures qui permettent de produire un mélange d'hydrogène et de vapeur. L'hydrogène produit par l'appareil est caractérisé par un haut niveau de pureté et le produit de côté de processus - une sorte d'hydroxyde d'aluminium - est un matériau de grande valeur pour des catalyseurs industriels ou la céramique.
Pour le moment, les chercheurs ont achevé un prototype opérationnel de l'appareil avec une capacité d'environ 4.5 kg d'hydrogène par heure. Mais le dispositif est actuellement capable de fonctionner seulement à partir de poudre d'aluminium fine qui est chère et potentiellement explosive. Les développeurs disent que le dispositif achevé pourrait aussi être utilisée pour le traitement des déchets des industries pharmaceutiques, pétrochimiques et médicales, des ordures ménagères, aussi bien que pour la destruction de matériaux particulièrement dangereux incluant l'hydrocarbure aromatique cancérigène qui peuvent s'accumuler dans l'environnement. De plus, l'appareil pourrait être ajusté pour la production de nanomatériaux incluant les nanocéramiques.
Il existe un appareil analogue en Russie, à l'Institut des Hautes Températures (JIHT) de Moscou. "initialement, l'appareil a été conçu pour un sous-marin de type "Lada". L'appareil doit fonctionner continuellement pour alimenter en hydrogène les piles à combustible sous-marines. Cependant, seules les poudres d'aluminium grossièrement réalisées sont sans danger d'explosion et sont appropriées pour l'utilisation dans le sous-marin. Mais le rendement est moindre."
Le projet de Valérie Ikonnikov portant sur l'amélioration de l'appareil a été soutenu par l'Agence Fédérale pour la Science et l'Innovation en 2007. Un accord gouvernemental a été signé pour un montant de 1.5 million de roubles. Le contrat entre le Centre et l'Agence Fédérale pour la Science et l'Innovation a expiré en octobre 2008 et le développement est actuellement suspendu en raison du manque de fonds. Néanmoins, les chercheurs du Centre espèrent vraiment construire deux ou encore trois unités pilotes au cours des prochaines années. Selon les analystes, les développeurs devraient également réussir à réduire le coût de production de l'hydrogène.
source : http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/59960.htm
Ils prétendent que ce produit est unique et qu'il n'y a aucun équivalent dans le monde. L'hydrogène est produit suite à une interaction entre de la poudre d'aluminium et de l'eau. L'innovation réside dans le fait que cela permet aux consommateurs d'obtenir de l'hydrogène propre extrait de matières compactes et sûres. Les secteurs d'utilisation potentiels de ce dispositif incluent le carburant autonome et la provision de chaleur pour des consommateurs divers : des grandes entreprises industrielles ou des maisons de campagne. Les chercheurs ont commencé leur travail en 2005 et une des publications récentes de "Alternative Energetics and Ecology" a inclus leur rapport de l'amélioration du dispositif.
Les développeurs ont ajouté de nouvelles solutions constructives pour le dispositif, en tenant compte de la continuité de l'opération et le moyen de rendre les poudres d'aluminium rentables et non-explosives. De plus, l'appareil est capable de travailler sous les hautes températures qui permettent de produire un mélange d'hydrogène et de vapeur. L'hydrogène produit par l'appareil est caractérisé par un haut niveau de pureté et le produit de côté de processus - une sorte d'hydroxyde d'aluminium - est un matériau de grande valeur pour des catalyseurs industriels ou la céramique.
Pour le moment, les chercheurs ont achevé un prototype opérationnel de l'appareil avec une capacité d'environ 4.5 kg d'hydrogène par heure. Mais le dispositif est actuellement capable de fonctionner seulement à partir de poudre d'aluminium fine qui est chère et potentiellement explosive. Les développeurs disent que le dispositif achevé pourrait aussi être utilisée pour le traitement des déchets des industries pharmaceutiques, pétrochimiques et médicales, des ordures ménagères, aussi bien que pour la destruction de matériaux particulièrement dangereux incluant l'hydrocarbure aromatique cancérigène qui peuvent s'accumuler dans l'environnement. De plus, l'appareil pourrait être ajusté pour la production de nanomatériaux incluant les nanocéramiques.
Il existe un appareil analogue en Russie, à l'Institut des Hautes Températures (JIHT) de Moscou. "initialement, l'appareil a été conçu pour un sous-marin de type "Lada". L'appareil doit fonctionner continuellement pour alimenter en hydrogène les piles à combustible sous-marines. Cependant, seules les poudres d'aluminium grossièrement réalisées sont sans danger d'explosion et sont appropriées pour l'utilisation dans le sous-marin. Mais le rendement est moindre."
Le projet de Valérie Ikonnikov portant sur l'amélioration de l'appareil a été soutenu par l'Agence Fédérale pour la Science et l'Innovation en 2007. Un accord gouvernemental a été signé pour un montant de 1.5 million de roubles. Le contrat entre le Centre et l'Agence Fédérale pour la Science et l'Innovation a expiré en octobre 2008 et le développement est actuellement suspendu en raison du manque de fonds. Néanmoins, les chercheurs du Centre espèrent vraiment construire deux ou encore trois unités pilotes au cours des prochaines années. Selon les analystes, les développeurs devraient également réussir à réduire le coût de production de l'hydrogène.
source : http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/59960.htm
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire