Cartographie de l'utilisation des ressources en eau pour la production de biocarburants
samedi 2 mai 2009
On sait que la consommation « intermédiaire » d’eau (pour la production de la viande, d’une auto, pour le refroidissement des éléments en surchauffe), mise en exergue par la notion d’empreinte de l’eau (voir le concept d’eau virtuelle), est astronomique.
Cette cartographie trouvée chez TreeHugger soulève en tout cas un nouveau risque dans la production irraisonnée de biocarburants : ceux-ci nécessitent beaucoup plus d’eau qu’une agriculture classique, selon TreeHugger. Ce qui est intéressant ici, c’est l’arbitrage qui commence à être fait entre la production d’un bien et son poids en eau, un peu comme on le fait pour le poids en carbone des produits.
La consommation d’eau est dans certains pays un paramètre aussi important (peut-être bien plus) que l’émission de gaz à effet de serre.
On entre de plus en plus dans l’ère des arbitrages écologiques : vaut-il mieux un biocarburant (indépendance, émissions de GES inférieures,…) ou moins consommer d’eau (mais alors comment faire tourner les moteurs de nos gros 4x4) ? La conséquence, c’est une approche toujours plus fine du recyclage et du refus du gaspillage : des moteurs toujours plus performants, des méthodes agricoles moins gourmandes en eau, un recyclage systématique des eaux usées, etc. Un champ passionnant de réflexions et d’essais s’ouvre à nous.
TechnoPropres
Cette cartographie trouvée chez TreeHugger soulève en tout cas un nouveau risque dans la production irraisonnée de biocarburants : ceux-ci nécessitent beaucoup plus d’eau qu’une agriculture classique, selon TreeHugger. Ce qui est intéressant ici, c’est l’arbitrage qui commence à être fait entre la production d’un bien et son poids en eau, un peu comme on le fait pour le poids en carbone des produits.
La consommation d’eau est dans certains pays un paramètre aussi important (peut-être bien plus) que l’émission de gaz à effet de serre.
On entre de plus en plus dans l’ère des arbitrages écologiques : vaut-il mieux un biocarburant (indépendance, émissions de GES inférieures,…) ou moins consommer d’eau (mais alors comment faire tourner les moteurs de nos gros 4x4) ? La conséquence, c’est une approche toujours plus fine du recyclage et du refus du gaspillage : des moteurs toujours plus performants, des méthodes agricoles moins gourmandes en eau, un recyclage systématique des eaux usées, etc. Un champ passionnant de réflexions et d’essais s’ouvre à nous.
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