Conférence sur les énergies maritimes à Brest
lundi 17 novembre 2008
A Brest s’est déroulée la deuxième Conférence internationale sur les énergies marines renouvelables qui a réuni des scientifiques, des industriels ou des usagers de la mer pour définir les objectifs des énergies marines : sait-on que que « 10% de la demande d’électricité dans le monde par an pourrait être couverte par l’énergie des vagues » et que les « algocarburants » pourraient être l’énergie de demain ?
D’après lefigaro.fr, l’Institut de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) estime que concernant le développement des énergies renouvelables, « si la France veut faire de ces énergies un atout de compétitivité à long terme elle doit renforcer ses compétences par un soutien à la recherche et par la mise en place de premiers démonstrateurs ». Le quotidien rapporte par ailleurs que six entreprises françaises ont annoncé le lancement d'un projet Winflo, pour des éoliennes flottantes : « c'est une opportunité pour faire naître une filière française », explique Peter Nass, patron de Nass and Wind.
L’Initiative Partenariale Nationale pour l’émergence des Energies Marines a été signée à l'occasion de cette conférence entre douze partenaires tels que l’Etat avec le MEEDDAT ou l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (Ademe). Cette convention-déclaration invite l’ensemble des acteurs français à fédérer leurs efforts dans le domaine des énergies de la mer. En effet, les technologies actuelles, et notamment les hydroliennes, qui permettent de produire de l'électricité avec des courants marins, offrent un potentiel intéressant mais restent une technologie encore balbutiante. Les capacités de la France à investir dans la recherche sur les solutions de demain ont ainsi trouvé à la fois un cadre et des pistes de mobilisations.
D’après lefigaro.fr, l’Institut de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) estime que concernant le développement des énergies renouvelables, « si la France veut faire de ces énergies un atout de compétitivité à long terme elle doit renforcer ses compétences par un soutien à la recherche et par la mise en place de premiers démonstrateurs ». Le quotidien rapporte par ailleurs que six entreprises françaises ont annoncé le lancement d'un projet Winflo, pour des éoliennes flottantes : « c'est une opportunité pour faire naître une filière française », explique Peter Nass, patron de Nass and Wind.
L’Initiative Partenariale Nationale pour l’émergence des Energies Marines a été signée à l'occasion de cette conférence entre douze partenaires tels que l’Etat avec le MEEDDAT ou l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie (Ademe). Cette convention-déclaration invite l’ensemble des acteurs français à fédérer leurs efforts dans le domaine des énergies de la mer. En effet, les technologies actuelles, et notamment les hydroliennes, qui permettent de produire de l'électricité avec des courants marins, offrent un potentiel intéressant mais restent une technologie encore balbutiante. Les capacités de la France à investir dans la recherche sur les solutions de demain ont ainsi trouvé à la fois un cadre et des pistes de mobilisations.
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