Après les éoliennes, les hydroliennes !
samedi 10 janvier 2009
Au moins, on ne pourra plus leur reprocher de gâcher le paysage ! Les éoliennes profitent de la force des vents, et sur le même principe, les hydroliennes vont se servir des courants marins, plus constants que les vents, pour faire tourner des turbines qui pourront produire de l’électricité.
C’est en Bretagne que cette nouvelle forme d’énergie renouvelable sera expérimentée. Après une première centrale houlomotrice au Croisic, c’est près des Côtes d’Armor que sera installé le premier parc d’hydroliennes. L’avantage par rapport à l’énergie éolienne, c’est la prédictibilité de l’énergie produite. Les courants marins évoluent peu, et l’installation de parc peut ainsi être optimisée, rassurant producteurs et surtout investisseurs quant au rendement attendu.
EDF n’a pas attendu et s’est donc lancé sur un premier parc de 4 à 10 hydroliennes, et ce malgré les coûts d’installation supposés élevés : l’ingénieurie sous-marine est évidemment plus complexe que celle à l’air libre. Ce premier parc, dont les turbines feront 10m de diamètre, devrait produire de 2 à 4 mégawatts. Le coût estimé de l’opération est d’environ 25 millions d’euros.
La zone choisie, celle de Paimpol-Bréhat, connaît une grande intensité de courants marins, mais elle n’est pas seule, d’où l’émergence d’une « Initiative Partenariale pour l’émergence des énergies marines » à Brest. « Energies marines », moi, ça me fait rêver…
C’est en Bretagne que cette nouvelle forme d’énergie renouvelable sera expérimentée. Après une première centrale houlomotrice au Croisic, c’est près des Côtes d’Armor que sera installé le premier parc d’hydroliennes. L’avantage par rapport à l’énergie éolienne, c’est la prédictibilité de l’énergie produite. Les courants marins évoluent peu, et l’installation de parc peut ainsi être optimisée, rassurant producteurs et surtout investisseurs quant au rendement attendu.
EDF n’a pas attendu et s’est donc lancé sur un premier parc de 4 à 10 hydroliennes, et ce malgré les coûts d’installation supposés élevés : l’ingénieurie sous-marine est évidemment plus complexe que celle à l’air libre. Ce premier parc, dont les turbines feront 10m de diamètre, devrait produire de 2 à 4 mégawatts. Le coût estimé de l’opération est d’environ 25 millions d’euros.
La zone choisie, celle de Paimpol-Bréhat, connaît une grande intensité de courants marins, mais elle n’est pas seule, d’où l’émergence d’une « Initiative Partenariale pour l’émergence des énergies marines » à Brest. « Energies marines », moi, ça me fait rêver…
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