Les start-up cleantech américaines au cœur de la crise économique
mercredi 7 janvier 2009
Les perspectives de croissance pour les « jeunes pousses » américaines spécialisées dans les technologies propres ne sont pas bonnes. Si l’intérêt porté à ces technologies ne devrait pas se démentir sur le long terme (prévision de la fin du pétrole, nécessité de préserver la planète, et intérêt économique évident), à court terme, la crise financière devenue économique devrait peser sur leur développement.
Aux Etats-Unis, d’après le journal The Economist, le financement de projets estampillés « CleanTech » a chuté de presque 25% au troisième trimestre, à 18 milliards de dollars tout de même. Et la tendance ne devrait pas s’inverser avant 2009. Les entreprises auront également plus de mal à trouver les financements adéquats en raison du resserrement du crédit.
Les grand énergéticiens américains, qui eux aussi « passent au vert », ralentissent voire annulent leur programmes. Quel dommage quand on sait l’influence qu’on ces grands acteurs sur l’ensemble du marché de l’énergie ! Enfin, ce n’est « que » partie remise pour de meilleurs jours. Ces coupes dans les programmes concernent l’ensemble des énergies nouvelles : l’éolien en Floride, le solaire en Caroline du Nord, et le plus grand producteur américain d’ethanol, VeraSun Energy, s’est placé sous la protection du célèbre « chapitre 11 », celui des mises en faillites. Plus près de chez nous le crise se fait sentir également, avec une baisse des prix des permis-carbones, de 30€ en juillet à 20€ en décembre.
Cela dit, il faut rester optimiste ! Les problématiques liées au développement durable et aux énergies renouvelables ou propres passeront la crise, il s’agit donc plutôt d’une pause que d’un arrêt des programmes. La planète a besoin d’énergie, et les hydrocarbures ne pourront pas soutenir notre demande croissante avec des ressources en baisse, ou de plus en plus compliquées à extraire.
Cependant, certains chiffres rassurent : Energies Nouvelles, filiale d’EDF, a réussi à lever plus de 700 millions de dollars, et les carnets de commande des fournisseurs de turbines d’éoliennes ou de panneaux solaires sont assez plein pour maintenir l’activité malgré la crise.
Enfin vivement qu’on en voit le bout et que l’on puisse non seulement maintenir l’activité, mais la développer, avec à la clé des « emplois verts ».
Aux Etats-Unis, d’après le journal The Economist, le financement de projets estampillés « CleanTech » a chuté de presque 25% au troisième trimestre, à 18 milliards de dollars tout de même. Et la tendance ne devrait pas s’inverser avant 2009. Les entreprises auront également plus de mal à trouver les financements adéquats en raison du resserrement du crédit.
Les grand énergéticiens américains, qui eux aussi « passent au vert », ralentissent voire annulent leur programmes. Quel dommage quand on sait l’influence qu’on ces grands acteurs sur l’ensemble du marché de l’énergie ! Enfin, ce n’est « que » partie remise pour de meilleurs jours. Ces coupes dans les programmes concernent l’ensemble des énergies nouvelles : l’éolien en Floride, le solaire en Caroline du Nord, et le plus grand producteur américain d’ethanol, VeraSun Energy, s’est placé sous la protection du célèbre « chapitre 11 », celui des mises en faillites. Plus près de chez nous le crise se fait sentir également, avec une baisse des prix des permis-carbones, de 30€ en juillet à 20€ en décembre.
Cela dit, il faut rester optimiste ! Les problématiques liées au développement durable et aux énergies renouvelables ou propres passeront la crise, il s’agit donc plutôt d’une pause que d’un arrêt des programmes. La planète a besoin d’énergie, et les hydrocarbures ne pourront pas soutenir notre demande croissante avec des ressources en baisse, ou de plus en plus compliquées à extraire.
Cependant, certains chiffres rassurent : Energies Nouvelles, filiale d’EDF, a réussi à lever plus de 700 millions de dollars, et les carnets de commande des fournisseurs de turbines d’éoliennes ou de panneaux solaires sont assez plein pour maintenir l’activité malgré la crise.
Enfin vivement qu’on en voit le bout et que l’on puisse non seulement maintenir l’activité, mais la développer, avec à la clé des « emplois verts ».
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